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Ma vie sans alcool : «Quand je passe aux sodas, mes potes ne comprennent pas ce qui me prend»

Ma vie sans alcool : «Quand je passe aux sodas, mes potes ne comprennent pas ce qui me prend»
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Témoignages - Pour aller mieuxdossier
La sobriété, ce n’est pas que renoncer à l’alcool. Pour «Libé», ils ou elles racontent les raisons qui les ont poussé·es à ne plus boire. Dans notre dixième épisode, Clémence (1), 30 ans, tombée dans l’alcool à l’adolescence.
«A17 ans, rien ne va autour de moi : ma relation avec mon père n’est pas bonne, je suis en décrochage scolaire…» (Photomontage Libération/Getty Images)

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Remiser vins, bière ou spiritueux au placard après quelques semaines arrosées. C’est le propos d’initiatives à l’instar du «Dry January» ou mois sans alcool ou de son cousin australien lancé en 2008, le Dry July, pour «juillet sec». Elles permettent en effet d’interroger notre rapport à la (sur) consommation de boissons alcoolisées. Mais pour d’autres, parfois en situation de dépendance, la sobriété est devenue un mode de vie salvateur. Dans cet épisode, Clémence (1), comédienne de 30 ans habitant à Strasbourg, s’est longtemps servi de l’alcool pour combler son manque de confiance en elle.

«Quand j’ai 6-7 ans, mon père a un accident de moto, et perd son travail à cause de ça. Il sombre dans l’alcool. Au début je ne m’en rends pas compte, parce que je suis enfant, mais je remarque qu’il commence à être violent avec moi, et de plus en plus avec le temps. Je finis par réaliser que c’est parce qu’il boit de plus en plus. Ce n’est pas quelqu’un de très joyeux à la base, mais il n’e

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